Page:Dorian - Poèmes lyriques, Marpon et Flammarion.djvu/150

Cette page n’a pas encore été corrigée


Je n’ai pas été sourd à tes dormants tonnerres,
J’ai respiré la Rose en qui germe la mort ;
J’ai bu vos fiels de feu, coupes visionnaires,

Dans les paradis bleus j’ai vu pâlir mon sort…
Et jusqu’en leurs clartés aux astres congénères
J’ai su lire sans peur la menace qui dort !