Page:Dorgelès - Les Croix de bois.djvu/62

Cette page a été validée par deux contributeurs.

gourbi, il a pris son fusil entre ses genoux, et, déboutonnant sa capote, il a sorti une large ceinture de flanelle rouge. D’un seul coup, les rires se sont tus.

On a regardé dans la plaine, devant la tranchée allemande. Le fanion rouge n’y était plus.