Page:Dorgelès - Les Croix de bois.djvu/238

Cette page a été validée par deux contributeurs.

La musique sonore nous saoulait, semblant nous emporter dans un dimanche en fête ; on avançait, l’ardeur aux reins, opposant à ces larmes notre orgueil de mâles vainqueurs.


Allons, il y aura toujours des guerres, toujours, toujours…