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pouvons sonder ; j’ai indiqué nos véritables dangers et la véritable cause de nos maux : c’est dans la nature de cette cause qu’il faut puiser le remède, c’est elle qui doit déterminer la conduite des représentans du peuple.

Il resteroit bien des choses à dire sur cette matière, qui referme tout ce qui peut intéresser la cause de la liberté ; mais j’ai déjà occupé trop long-temps les momens de la société : si elle me l’ordonne, je remplirai cette tâche dans une autre séance.


La société a ordonné l’impression de ce discours, et invité M. Robespierre à lui communiquer le reste de ses vues.