résumaient en un seul, mais formidable mot : Eulalie !
Finalement, après maintes allées et venues, nombre de tours et de détours, il se dit philosophiquement : Ah bah ! puisque la chose est inévitable, autant tout de suite qu’un peu plus tard : allons recevoir l’averse.
Et il pénétra chez lui, avec des allures de triomphateur.
Cinq minutes ne s’étaient pas écoulées qu’on entendait du chemin royal les glapissements d’Eulalie…
L’averse tombait !
Une vie nouvelle allait donc commencer pour notre intéressante héroïne, — vie bien différente, hélas ! des heureux jours qu’elle avait coulés entre son père adoptif et l’excellente Marianne.
Mais… à quoi bon relater par le menu les souffrances morales de ce jeune cœur qui, jusque-là, n’avait connu que l’amour et la joie !
Ces choses-là ne se racontent pas, et c’est leur continuité qui en fait une torture sans nom.