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•ri»fpi ;1,k Jcu <leix vieillards qui avoient conçu .»oUI ,jl* ui amou , nfa ne , |ay m dure .c tv,r |e Crcfor Jc « ch ft é on quellc eftoir Ceu’c « f», ;rdtn Mai» vcccc verreue f ;,.BS ai ni m c„ poter à perdre la rie. qu le leur audsn.ee U pureté-.elle les repa,».U avec une con^-ce îDncxibie. Et • Ecriture â’tribuc cette h leîtté quelle avoir pour Dim , à l’e location qu’e ,e avait reçue de fes Parcns, qui ayant beaucoup 4e pictc l’avoicnt iofhaire avec tyrand (oh k vivre félon la loy de Dieu, & fes divins «’om* mandemens. Si les Pères & les Meres élevoient leurs enfans de a même forte, ils auraient u« jour ia eonlo anon de ’es voir fideles 1 Dieu dans les plus grandes épreuves : on ne vertoic pas des E»ltfes pleines de fi1 les ou plthoft de coquettes (i effrontées, qui portent fut la tète & itM le front le caraftere de l’impuliciié k l’étendard de la ptoffitutiou , fc on la parole d’il" ancien Pere del’figlife ; 8c o.i n’auroit pat tant defujec de pleurer prcfquc h perte uaiverfelie de 11 jeunette de l’un & de l’antre fexe , qui
fe veautre dans des Calerez k des ordures abo minables, qusyqtte Couvent fccrette» k renfer mées dam un feul fexe. Comme l’Eeritute art ibuë lachaftcréJe Sufannc aux to :ns k à la ■>-té de fcp Pere & de fa. Mere, fur qui au logement de Dieu , les Pare-M aveugles k neghgens poarrone-ils Ce décharger de toutes ces infamiea.doar il, feront infâHlibtemttC charge»» Mats venons à celle que Toa peut bien appelle* Rcync des Mères de l’ausicn Tcffament.
