pour l9EcLhc. Chrefl.des Enfant.
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Il fait pourtant voir ailleurs, qu’il ne faut t)is aller à i’cxcés dans le châtiment des enfans, Prrr/j dit ce grand Apoftie > u’irrwa point vos Enfant , mais afo^ foin de les bien llever on ht corrigeant^ ? lesinflrmfant dan s la crainte dteStigneur^ Perts , dit-il eu un auccc^cndroi c, n irrités pains vos enfans, de peur quilr ne tombent point dans Rabattement» t ~ L V I I.
Reflexions fur tes Règles. Es divins oracles font clairs, 5c ils n’ont point befois d’cclairciffemcnt. Mais ceux qui veulent le (anditier par l’cdiication de leurs enfant, ne peuvent les lire fit les méditer trop fouveor Ils y apprendront du Saint Efprit même, que l’indulgence molle fie complaisante , 3c la trop grande familiarité des parens avec les en fin» , les rendent incorrigibles fie intraitables ; qu’il les faut châtier fie redune dans la crainte, le refpeâ fie l’obéilTance, pendant qu’ili fonc petits , fie ne les point la i (Ter à leur volonté ; que c’cft les aimer d’un amourChreftien fie réglé, félon les idées de Diciî-même , que de les châtier fie de les corigcr : que la verge eft un moyen pour leur apprendre la fagefle > qu’au contraire c’eflr les haïr fie chercher leur malheur, que de la leur épargner : que la plus grande marque que Dieu donue de fon amour à ceux qu’il fau ve^c’cfl. lors qui les châtie fie leur envoyé des affligions. Ils y remarqueront le foiu particulier qu’au Pcre fit une Mere doives avoir de leurs filles pour conterver leur pureté : qu’il ne faut pas jouer Djr rite avec elles, fit qu’il faut les tenir dant uoe crainte refpcclucule. Ils pourront enfin faire leflexiou qu’en pas un des endroiu r Diets ne ne parle ny de (outilct , ny de coups de poing, ay de bâton , mais de la verge feulement, qui
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