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Dessaulles - Les erreurs de l'Église en droit naturel et canonique sur le mariage et le divorce, 1894.djvu/292
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XI. —
C’est le prêtre et non le législateur qui a mis le bon Dieu à la porte du sacrement de mariage
77
XVI. —
M.
Trinquelague et les théologiens
83
XVII. —
Opinions anciennes et paradoxes modernes
86
XVIII. —
Comment on a ménagé la transition de la pratique ancienne à la pratique moderne
90
XIX. —
Pailles chez les juristes laïques ; poutres chez les juristes ecclésiastiques
92
XX. —
Agréables tempéraments de l’Église à ses règles sur le mariage
97
XXI. —
Le mariage a-t-il été institué par Jésus ?
102
XXII. —
Les conciles de Florence et de Trente adoptent les affirmations des fausses décrétales
106
XXIII. —
M. l’abbé Paoli soutient que le mariage remonte à Adam
112
XXIV. —
Il faut conclure que le lien est exclusivement civil
118
XXV. —
Il est temps que les adeptes des différents cultes cessent de se haïr au nom de l’idée religieuse
121
XXVI. —
La restriction de Jésus fondée sur l’adultère
128
XXVII. —
Les nullités de l’Église qui ne sont pas nulles
132
XXVIII. —
L’Église a donné la préséance au simple vœu solennel sur son sacrement de mariage
141
XXIX. —
Nullité du mariage d’un catholique avec une juive. Le législateur peut-il admettre pareille insanité ?
148
XXX. —
Jugements ecclésiastiques sur les officialités
153
XXXI. —
La justice civile a dû faire table rase des hontes de la procédure ecclésiastique
158
XXXII. —
Opinions diverses parmi les Pères sur la sainteté du mariage
161
XXXIII. —
Les évêques et la loi. Les fortes bourses et l’Église
164