Impers. kuəhəs, χuəhəs (cuadhthas).
Thème de futur régulier :
Sg. i. rαjəd ou rɑid (raghad), etc.
Subst. verb. dœl ou dol (dul). Adj. verb. dœltə ou doltə (dulta).
Au prétérit, χuəs est constant, aussi bien en fonction conjointe qu’en fonction absolue, dʹαis ne s’entendant guère que dans les chansons ou dans les contes. L’un et l’autre thèmes prennent les particules avec ‑r.
§. 194. fʹαdər (feadar), « je sais » : n’a qu’un présent, fléchi comme un prétérit.
Sg. 1. fʹαdər (feadar), 2. fʹαdri:ʃ (feadrais), 3. fʹαdərʹ (feadair), fʹαdər ʃe (feadar se), etc.
Il n’y a pas d’impersonnel ; ce verbe ne s’employe qu’interrogativement ou négativement : ə vʹαdri:ʃ (an bhfeadrais ?) « est-ce que tu sais ? »
§ 195. i:nʹʃəmʹ (innsim) « je dis), régulier, sauf quant à la formation du thème du futur (voir § 173).
§ 196. ihəmʹ (ithim) « je mange », régulier, sauf quant à la formation du thème du futur : i:səd (íosad), etc.
§ 197. tɑ:rli:mʹ (tarluighim) « j’arrive, je me produis ». Ce verbe s’est constitué une flexion longue complète et régulière.
Prétérit hɑ:rli:s (thárluigheas), 3e pers. du sing. hɑ:rlə (thárla) et hɑ:rləgʹ.
§ 198. rɑ:ŋgʷi:mʹ (ránguighim) est dans le parler un verbe régulier de flexion longue, employé surtout au prétérit : rɑ:ngəgʹ ʃe (ránguigh sé) « il réussit à » ; dɑ: rɑ:ngo:χ ʃe lʹum (dá rángóchadh sé liom) « s’il m’arrivait de ».