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4o6 Correspondance.

l'ay receu deux contreletres de Monficur Claude Picot, prieur du Rouure &c., touchant le tranfport que ie luy ay faiâ; de trois contradz de rentes que i'auois en Bretaigne. L'vne de ces contre Ictrcs, qui eft efcrite de fa main, efl demeurée entre mes papiers, 5 & ie déclare, par leprefent efcrit, qu'elle fera de nulle valleur, lors que Monfieur Anthoinc Studlcr van Zu- rich, Seigneur de Bergen, luy aura rcnuoyc l'autre, qui eft palTée par deuant notaire, & que i'ay donnée a garder aud(it) Seigneur de Bergen, pourcé que ic lo fuis affeuré qu'il ne luy renuoyera point qu'après que i'auray efté entièrement fatisfaid de ce qui eft con- tenu en lad(ite) contre letrc. En foy de quoy i'ay (igné cet efcrit a Egmont, le trentième iour d'Aouft, en l'an mil fix cents quarente-neuf. 1 5

Signé :

��Rl'NE DKS CARIES,

��pour ce que deftus '

��DLXVIII.

Descartes a i/AiMiÉ Picor.

Egmond, 'io août i<)4<j. Copie MS., Paris, Collection G. de Coiircel.

Citée par Baillel, Vie de Mons. Dcs-Gartes, tome II, p. 3S6. Voir aussi p. 6G-6'] ci-avant, éclaircissement.

a. Au bas : « Inucntorié i3 », plus un moi illisible.

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