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268 Correspondance. i, u.

auray très grande obligation & tefmoigneray, en me corrigeant, que ie fuis,

Madame,

de Voftre Alteffe le très humble & très obeiiîant feruiteur,

��j

DESCARTES.

��DEgmond, le 4 d'Aouft 164}.

CCCXCVIII.

Elisabeth a Descartes. [La Haye], 16 août [1645],

Copie MS., Rosendaal, près Arnhem, Collection Pallandt, n° 12, p. 66-70.

Publiée par Foucher de Careil, p. 6y-6g, Descartes et la Prin- cesse Elisabeth (Paris, Gernier-Bailliere, iSjg). — Réponse à la lettre précédente, p. 263. Descartes écrira de nouveau, le 18 août, lettre CCCXCIX ci-après, avant d'avoir reçu la présente, à laquelle il ne répondra que le 1" septembre, lettre CDI.

Monjîeur De/cartes,

I'ay trouué, en examinant le Hure que vous m'aue~ 10 recommandé a , quantité de belles périodes & de fentences bien imaginées pour me donner fuiet d'vne méditation agréable, mais non pas pour m'injlruire de celuy dont il traite, puisqu'elles font fans méthode & que l'auteur ne

1 vne très grande. — & ie. — 1 après fuis] etc. La lettre Jinit là. a. De Vita Beata, de Sénèque. Voir p. 253, 1. 1.

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