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ii.aoa. CLXXX. — 28 Décembre 16^9. 659

d'adiouxter cela en fes Notes, ie m'offre de luy ayder en tout ce qui fera de mon pouuoir. le fuis,

Mon Reuerend Père,

Voftre très humble & très affedionné feruiteur,

DESCARTES.

Du Jour de Noël 1659.

Page 63 1, 1. 23. — Cette question se retrouve tout au long dans une lettre du médecin de Sens, Villiers, à Mersenne, qui la lui avait aussi adressée. Cette lettre, du 4 oct. 1640, fut communiquée par Mersenne à Descartes, qui y répondit le 28 octobre 1640, lettre CCXII (Clers., II, 259- 260). Nous en donnerons un extrait comme éclaircissement à cet endroit.

��CLXXX.

HuYGENs A Descartes.

La Haye, 28 décembre 1639.

Copie MS., Amsterdam, Académie des Sciences. Lettres françaises de Constantin Huygens, tome I, page 885.

Monfieur,

Apres la remife de quelques iours, dont i'aduoue ,0 que moy ou mes occupations font coupables, i'ay en- uoyé quérir Stampioen pour luy faire figner le Com- promis*. Mais bien loin de la, il m'a dit qu'il conte- noit des chofes ou il trouuoit a redire. De quoy m'ef- tant formaliféj comme ie ne debuois pas (car ie con-

I fcs] ces. — 2 le fuis (derniers mots de Clerselier).

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