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AU REVOIR.
Vous ne me voulez plus… Qu’ils en cherchent la cause ;
Je ne chercherai pas ; vous ne me voulez plus.
Ainsi des doux romans effeuillés ; ils sont lus ;
Vous avez cru me lire, et cette page est close.
Pourtant, je l’ai marquée avec un signet noir,
Cette page éternelle où s’arrête ma vie ;
La vôtre, quelque jour, de mémoire suivie,
Tressaillera d’un mot qui s’y cache : au revoir !