Page:Desbordes-Valmore - Les Pleurs, 1834.djvu/243

Cette page a été validée par deux contributeurs.

Quoi ! c’est là ton berceau, poétique Louise !
Mélodieux enfant, fait d’amour et d’amour,
Et d’ame, et d’ame encore, et de mollesse exquise ;
Quoi ! c’est là que ta vie a pris l’air et le jour !

Quoi ! les murs étouffans de cette étroite rue
Ont laissé, sans l’éteindre, éclore ta raison ?