mer qui étaient classées par ordre et numérotées :
— « Première raison. En fait de mariage un bon caractère est préférable à un grand esprit. Si le cher John n’est pas fort sur le dernier article, ce n’est pas sa faute ; son excellente nature établit suffisamment la compensation. »
Folie ! pensais-je. Est-ce à dire que je suis un imbécile sans méchanceté, un mouton qui lèche la main qui lui tond le dos ; est-ce bien là le sens ? n’y a-t-il point de faute d’impression ? mais non : le texte est parfaitement clair et correct. Il n’y a point d’erreur : avançons toutefois !
— « Seconde raison. La beauté n’est nullement nécessaire chez un mari. John se croit un Adonis, il s’admire beaucoup ; tant mieux pour son bonheur, cela m’épargnera un peu l’embarras de m’en occuper. »