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HUIT FEMMES.

et de verdure, est nu, sans mystères, sans prestiges, noir et froid comme la cendre, ou comme la tombe.

Il est peut-être infiniment trop simple pour un récit de cette nature, de ne pouvoir assigner à ce subit amour d’autre cause que l’amour lui-même. Nul antécédent tragique, nulle scène de danger, n’en avait jeté les racines. Un homme beau, une belle femme ; des charmes extérieurs qui font croire aux vertus, puis, les dangereuses facilités du grand monde, implacable après la chute inévitable qu’il provoque avec une insoucieuse immoralité. Ses unions à la danse, à la walse, au piano ; ses parties aventureuses et brillantes à cheval, ses invitations, pleines d’amorces et de tyranniques flatteries pour les faibles athlètes qu’il lance dans l’arène couverte de