Page:Desbordes-Valmore - Bouquets et prières, 1843.djvu/51

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
46
PRIÈRES.

Ton haleine égale et sonore,
Dans le froid cadran ne bat plus :
Tout s’éteint-il comme l’aurore
Des beaux jours qu’à ton front j’ai lus ?