Page:Desbordes-Valmore - Bouquets et prières, 1843.djvu/192

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Mais la foule survint ; la foule me fait peur ;
Elle cherchait sa gloire, et j’écoutais son cœur.
Cédant au flot croissant la grille entre-fermée,
J’ai consacré d’un vœu cette demeure aimée ;
Et par-dessus les murs où rentrait l’amitié,
De mon rameau béni j’ai jeté la moitié.