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IV


Vers 1835, nous retrouvons Gérard de Nerval dans une vieille maison de la vieille rue du Doyenné, tout au fond de la vieille place du Louvre, à l’endroit où est aujourd’hui le pavillon Mollien. — Il avait traduit Faust, il avait été appelé à collaborer au Mercure du bibliophile Jacob, en compagnie d’Alexandre Dumas, de Jules Janin, de Théophile Gautier : c’est dire qu’il vivait en plein romantisme et en pleine bohème littéraire, — une bohème dorée, s’il