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GÉRARD DE NERVAL

sa faute aussi, à ce modeste homme de talent, à cette violette littéraire qui ne se révélait que par le parfum de ses livres ; car, s’il y a des gens dont les défauts sont si soigneusement dissimulés qu’un peut dire d’eux, comme un personnage des Plaideurs à propos d’un autre personnage de la même comédie, qu’ils « boitent tout bas, » il y en a d’autres dont les vertus littéraires sont plus soigneusement dissimulées encore, à ce point qu’on pourrait croire qu’ils n’ont de génie qu’à huis-clos.