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GÉRARD DE NERVAL

Je n’ai pas besoin d’ajouter que le speech de Gérard avait été couvert d’applaudissements, non pas qu’il eût été considéré par les bouchers présents à ce repas comme une aimable plaisanterie, — mais seulement parce qu’ils ne l’avaient pas compris. Ils avaient un « auteur » avec eux : cela leur suffisait, cet auteur avait le droit de tout dire — pourvu qu’il ne les forçât pas de tout comprendre.