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que M. Delrieu ne doit qu’à lui-même et qui honore son talent. (Journal du Publiciste.)


Nous ne publions ces notes que pour faire connaître aux étrangers la justice rendue à cette tragédie par MM. les gens de lettres, qui ne se sont montrés ni envieux, ni injustes, et l’unanimité des éloges que lui ont justement donnés les journaux, qui jusque-là avaient souvent manifesté des avis opposés, même pour des ouvrages bien accueillis du public. Nous avouerons même que ces notes ne sont que le résumé exact et succint de tout ce que nous avons entendu dans le monde, et de ce que nous avons lu dans tous les journaux.
fin.