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CE QU’IL VEUT PRES L’IMAGE DE SON BATHYL

(L’ode est manque au grec.)

Fay-moy près ce jouvenceau Un ombrageux arbrisseau, Afin que sa tresse blonde Soit au branle vagabonde De ses rameaux tendrelets : Fay près de luy crespelets Les replis d’une fontaine Doux-coulant parmy la plaine. Voyant cest heureux pourpris, Dieux ! qui n’en seroit espris ?

(Rémi Belleau.


EIS ^lAAPrTPON. (B. 34.)

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