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itapà ô’ a-jTo ’{/tOupc^ei 15 irTiYTi péoM<ra Tcetôoy; * Ttç av ouv ôpûv TcapéAÔot xaxavwY’.ov to’.o-jto;

Dans l’édition de Henri Estienne, comme dans celle de Brunck, cette ode en forme deux, la 22ème et la 23ème. La première finit à :

xpa6îr,v tIv: (rxE7:à^to.


ODE

Or fus filles, que l’on me donne Dedans ce crystal qui rayonne, A longs traits de ce Dieu gaillard : Je fuis tant altéré, qu’à peine Puis-je retirer mon haleine. Pour la grande chaleur qui m’ard. Versez-moy ceste humeur sacree. Et d’une couronne pampree Couvrez de mon front la chaleur : Las ! je couvre bien d’autre sorte La chaleur d’Amour que je porte, Las ! je la couvre de mon cœur.

V. 14. — iiOjfC^et au lieu de IçtOîî^ei est une excellente correction. Cfr. Théocrite : àij -et Tb iiejfiTpia, etc.