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Le Parthe orgueilleux, dans un groupe, Se détache, thiare au front; Et moi, je fais d’abord celui qu’Amour enflamme Il porte un petit signe au dedans de son âme.



EI2 IIÛAON. (Poetœ melici, p. 275, Bergk.)

IIôiAs 0pY;y.’!r,, t: lr^ |jle ),o^bv ô’(i{Aao-tv ^liTZOXtaa. vriXeôi; çc’JYet:, ôoxéeiç Se (i’ o-j6cV slSévat aoçôv; iffOi TOI, xaXâ); jjlÈv av toi tov -/aXivbv s(jL6â).ot{jLi, fjvia; 8’ £-/tov aTpÉçotjxl a’ àa^l Tlp(xaTa Spôixou. 5 vOv 8s )>ctfxâivà; te pô<T-/.£at xo-jçâ te «TxipTôio-a Traî^eiç ’ Sî^iov vàp Î7r7:o<TE(pr,v oùx e’/eiç £7ï£[JLêàTr,v.

Cette pièce absente de l’édition de Henri Estienne manque dans Belleau. Elle a été traduite ou plutôt imitée par Ronsard et Baïf. Elle est d’Anacréon.

ODE

Pourquoy, comme une jeune poutre, De travers guignes-tu vers moy ? Pourquoy, farouche, fuis-tu outre Quand je veux approcher de toy ?