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raires de méthodes hasardées, d’institutions suspectes.

Tout cela émane d’une école qui a ses maîtres et ses disciples, d’ardents et de bruyants propagateurs.

Cette école ne prétend à rien moins qu’à prendre la direction du clergé en France et ailleurs ; elle offre même de se charger de sa formation.

Cette prétention a été mise en pleine lumière lors de la publication de la Vie du P. Hecker. Dans la préface de ce livre, M. l’abbé Klein dit : « Le P. Hecker a tracé et réalisé en lui l’idéal du prêtre pour l’avenir nouveau de l’Église… Il a établi les principes intimes de la formation sacerdotale pour les temps qui commencent. »

Et Mgr Ireland, dans l’Introduction de ce même livre, présente le P. Hecker comme « l’ornement et le joyau du clergé américain, comme le type qu’il faudrait voir se reproduire le plus possible parmi nous. »

Les Américanistes espèrent que la formation du clergé, selon ce type, « conduira l’Église à des succès qu’elle n’a jamais connus. » Comment cela ? Le P. Hecker nous le dit : « On