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ricanisme, qui a permis aux Apôtres et aux missionnaires d’étendre l’Église jusqu’aux confins du monde, et qui a donné aux pasteurs la vertu de porter les âmes aux sommets de la perfection.

Aussi Mgr Lelong put conclure :

« Voilà nos armes, Messieurs. Elles ont été victorieuses entre les mains des Apôtres et de tous les saints prêtres ; avec la grâce de Dieu elles le seront aussi dans les nôtres. Se conduire par d’autres principes, chercher à introduire dans le dogme et dans la morale certaines atténuations, rêver ces conciliations que l’Évangile a par avance déclarées chimériques, c’est marcher sur le bord d’un précipice, et s’exposer à y tomber. »


Déjà, hélas ! plusieurs y sont tombés. M. Herman Schell, professeur à la Faculté de théologie catholique de Würzburg, bien que se rattachant, de son propre aveu, aux idées américaines, a avoué dans une récente brochure que le mouvement dont il s’est fait l’apôtre en Allemagne a poussé des prêtres dans le protestantisme. Il n’en va pas autrement en France. Il y a un an, la Faculté de