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S ASTRONOMIE MODERNE. Nous aurons donc, au commencement du Calendrier, ’=(-—),=(. — 55 — ),=( k — X Ms ainsi, pou,- ,586, £ = (^+2^) r = (l^) r = ,o; pour 1600, £ = Ç ~3o ~) == x ^î telle est l’épacte en 1600 (3). Daus ces premières années les erreurs de nos suppositions sont insen- sibles, mais cela ne pouvait durer long-tems. L’année solaire moyenne est de 365> 5* 48' 48" = 365> 5* 48’,8 = 365*5* 81 3333= 5G5»,242222 = 565,25 — 0,0077777 = 365^ — ^°-°^ ■ — 565 1 7_ — 565 i 2 8 _ L’année julienne faisait de ce quart un jour intercalaire tous les quatre ans, mais c’était trop ; l’erreur était de y|4ô ou de 28 jours en 36oo ans ; la réformation grégorienne a supprimé trois bissextiles tous les 400 ans, c’est-à-dire 27 en 36oo ans. L’année grégorienne est 365 £ — yf|^= 365 ^— il reste à re- trancher jfa. Ainsi , pour corriger Terreur de ce Calendrier, il suffirait de rendre commune l’année 36oo et tous ses multiples. C’est ce que j’avais proposé aux auteurs du Calendrier qu’on voulait, malgré nous, établir en France en 1793. Les auteurs du Calendrier grégorien supposaient l’année 365’549’ 16* =365,2425462=365,25— o,oo 7 4558=365 £ — = 365 i — ^oVo li = 565 — ^-^vir 1 ) ils supposèrent 365 £ — et ils supprimèrent 5 bissextiles en 400 ans : l’approximation leur parut suffisante pour bien des siècles. L’épacte 1 1 suppose l’année de 365 jours ; le jour ajouté tous les quatre ans, ajoutait un jour à l’âge de la Lune au bout de la quatrième année ; or, ces jours ajoutés ont été compris dans le calcul des erreurs du cycle, on a tenu compte de l’erreur qu’ils introduiraient; mais -en supprimant trois bissextiles en4oo ans , à partir de 1600, on est obligé de diminuer l’épacte de 3 pour 400 ans ou de f pour 100 ans : l’épacte deviendra « - C^’f-’^ -fo - .6) = (S 16)