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t— A 0 5 7 75 3i 49 plez les 7. . . A = 5 L — A= 0 49 3i et j’ai directement Pâques 18 avril. Dans tous les cas, notre formule est toujours la plus courte et la plus naturelle. Mais quoi qu’on dise ou quoi qu’on fasse, l’opération n’aura jamais assez de simplicité , et toujours on regrettera qu’on n’ait pas fixé Pâques au premier ou au second dimanche d’avril. M. C. avoue, p. io5, que je connais parfaitement le but et l’esprit du Calendrier; il s’étonne, en conséquence, du mépris que j’ai témoi- gné en plusieurs endroits. Je puis répéter que je n’ai nul mépris, que j’ai une estime véritable pour cette conception. J’admire Lilio Giraldi, mais je ne puis m’empêcher de penser qu’on lui a imposé une besogne bien inutile et bien désagréable. Après avoir employé 37 pages à l’exposition et à la démonstration de ses formules, l’auteur passe à l’examen de la méthode de M. Gauss. Il lui reproche l’erreur indiquée ci-dessus, une exception trop étendue et qui aurait besoin d’être restreinte, enfin l’inutilité de son Arithmétique trans- cendante, puisque tout peut se démontrer par l’Arithmétique ordinaire. Il donne des moyens de correction que nous omettrons, puisque nous Hist. de l’Astr. mod. Tom. I. 8