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RÉFORMATION DU CALENDRIER. 5i moyen de trouver l’épacte de ce Calendrier ; c’est qu’elle est inutile. Nous avons vu (page 5o) qu’on était parvenu à éliminer cette épacte, pour s’en tenir au nombre N. Nous avons encore vu que le Calendrier julien n’a que 19 épactes ; de plus, c’est un fait que les épactes des 20 premières années sont 11, 22, 3, 14? 25, 6, 17, 28, g, 20, 1, 12, 23, /,, i5, 26, 7, 18, 29, et 1 1, qui se forment en ajoutaut continuellement ir, excepté à la 20 e , qu’on forme en ajoutant 12, pour la raison que nous avons donnée. Les épactes 2, 5, 8, 10, i3, 16, 19, ai, 24, 27, et 3o sont omises en vertu de l’arrangement qu’on a suivi; ce sont ces con- sidérations qui m’ont fourni la formule ci-dessus, que son inutilité m’avait fait supprimer. Pour l’épacte du Calendrier grégorien, M. C. donne la formule + (8.s-i I2) A E’ = 3o J r Soit A = 2285, Q~) r = 6 = N S = 22 8. S = 176 60 5S = 66 — 1 12 nN = 66 — _5 8. S— 112= "64 — i5 (3S— 5) == 67 2 SIS 53 ôtez 3o, 23 = E’. Voilà Topératiou , ordonnée de la manière la plus avantageuse. Voici la mienue , dans toute sa complication. C-ff),= 6 = N > -(S-.6) = -6, S-. 7 - 5, S -.5 = ao.(N-0 + 5o • +i = + I (i) e =0 (0 = C = -f- 2 7 53 E’ == 23. Je n’y vois aucun désavantage; mais elle obtiendra la préférence, si l’on songe que les termes (S — 16), ^— ) ("~^) e s o nl connus par