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JOURNAL D’EUGÈNE DELACROIX.

La Cour de M. Marcussen.

L’antichambre qui y conduit : obscur.

La chambre en haut, chez M. Bell ; on voit la cour par une fenêtre en fer à cheval.

Juives à Tanger, s’appuyant sur le bord des terrasses pour regarder dans la rue.

La Scène du Courban, la porte de Tanger ; les marabouts montés sur le monument de la prière ; les cavaliers, etc.

Le Nègre de Tombouctou dansant au milieu de la famille d’Abraham.

Cuisine de Méquinez. Figures.

Le Barbier de Méquinez, dans le passage de l’entrée de la cour de notre maison.

Bain mauresque.

Les hommes couchés, après le bain, s’habillant et se peignant.

Les différents cafés à Oran.

Fontaine dans une rue à Alger.

Parmi les prisonniers qu’il délivre, après avoir massacré la garde, Amadis trouve une jeune personne couverte de haillons et attachée à un poteau. Dès qu’il l’eut délivrée, elle embrassa ses genoux.

Le Connétable de Bourbon et la Conscience.

Le Jeune Clifford portant le corps de son père.

Voir dans Ovide Énée changé en dieu, au bord de la mer, je crois, avec une divinité qui le lave des souillures mortelles.

Trajan donne audience à tous les peuples de l’Em-