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FALARDEAU.

fort peu à M. Falardeau, père, qui trouvait que tous ces beaux portraits n’ensemençaient pas son champ et ne faisaient pas pousser son grain.

Aussi lui valurent-ils, plus d’une fois, de rudes avertissements manuels.

Antoine se relevait tout penaud, et après avoir jeté un regard de désespoir sur les débris de ses dessins tombés sous le courroux du vieux laboureur, il reprenait son travail.

Mais bientôt l’irrésistible passion l’entraînait de nouveau, et il se surprenait lui-même traçant sur le sable force paysages avec un éclat