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rappelerait l’harmonie que sa présence avait interrompue, d’autant qu’il le croyait nécessaire à l’entier accomplissement de ses vues. En conséquence il se décida à quitter Montebello, sans perdre de tems, et dans l’espoir d’y revenir bientôt, avec une meilleure perspective de succès. Il éprouvait quelque plaisir à penser que Victoria fût susceptible de se repentir de ses fautes. Ne voulant point s’exposer à aucune explication sérieuse avec le comte Adolphe, il appela sur-le-champ son valet-de-chambre, et lui ordonna de tenir tout disposé pour partir. Bérenza avait bien l’idée de laisser un mot pour Victoria, mais réflexion faite, il sentit que ce serait irriter sa mère davantage. Tout était