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vous dicter, et qui ne manquera pas de produire son effet.

« Cher Bérenza, la peine que ma mère a ressentie de notre altercation, m’engage à me priver pour un tems du plaisir de vous voir. Retournez à Venise, je vous prie ; et quand l’humeur occasionnée par la circonstance, sera dissipée, je mettrai tout empressement à solliciter votre retour. »

— Que ce peu de mots soit envoyé à Bérenza, et vous verrez que la suite en sera son prompt départ d’ici. Le comte absent, Victoria quittera cette maison.

— Sans moi, Adolphe ?

— Nous l’accompagnerons jusqu’à un autre azile, Laurina ; elle y sera en parfaite sûreté, sans pouvoir