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» Je le jure, mon père, répondit Victoria, d’un ton solennel.

» Ô ! mon dieu !… je… je te remercie… je te rends grâce… embrasse-moi, Victo… ria… ma… ta main, Laurina… je te… pardonne… ô ! mon créateur… je meurs content !

Ainsi périt dans la force de l’âge, le noble Lorédani, victime de l’ingratitude d’un ami, et de la corruption d’une femme !

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