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gnée : Laurina, dit-il, d’une voix grave, levez-vous. »
Elle leva la tête, mais en se tenant toujours à genoux.
» Laurina, asseyez-vous sur ce siége, dit-il encore de la voix d’un homme qui sent n’avoir pas de tems à perdre, et ne veut rien dire d’inutile. Regardez-moi, Laurina ! »
Il y avait quelque chose de si impératif dans ces paroles, que la coupable femme ne put se défendre de le fixer.
» Il est encore en votre pouvoir de réparer le mal que vous avez fait… Sitôt que je serai dans la tombe, occupez-vous de chercher votre fils… ce fils qui a déserté le toit paternel à la nouvelle de votre inconduite ? cherchez-le, et s’il plaît au ciel que vous le retrouviez,