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CHAPITRE X.


Il se passa quelque tems de la sorte, et Bérenza resta toujours en doute sur la conviction positive de l’attachement de Victoria. Il continua de la traiter en sœur bien aimée et en fille innocente, plutôt qu’en femme dont il voulait faire sa maîtresse. Bérenza, malgré son goût très-passionné pour la beauté, et principalement pour des charmes supérieurs comme ceux de la jeune personne, était un voluptueux trop raffiné pour user sur-le-champ du privilége que lui accordait la fortune, ou anticiper, par une jouissance pré-