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— Oui, monsieur le Comte, mais… avez-vous continué de voir Mathilde Strozzi ? demanda-t-elle avec une sorte de jalousie.

— Je viens de vous dire, reprit le comte en riant, que j’avais conservé l’habitude de lui rendre des visites.

— Et… vous la reverrez encore, signor Bérenza ?

— Mes intentions, à l’avenir, seront grandement influencées par vous, répondit-il d’un air sérieux.

— Mais, comte, poursuivit l’artificieuse Victoria, en feignant une grande ingénuité, vous m’aimez trop réellement, j’espère, pour vous occuper d’une autre femme, tandis que je suis avec vous !

— Charmante Victoria, je prendrai le même ton de gravité pour