Page:Dacre - Zofloya, tome 1.djvu/191

Cette page a été validée par deux contributeurs.

réfléchissaient sa charmante personne.

Bérenza parut jouir quelques instans de sa surprise ; puis la serrant entre ses bras, il dit : — Ici, ma bien aimée et seule maîtresse n’aura plus envie de fuir, j’espère, l’homme qui l’adore pour toujours.

— Fuir, répéta Victoria, je ne vous ai jamais fui, Bérenza.

— Serait-il vrai, mon amie ? en ce cas, il est besoin d’une explication entre nous, mais ce sera dans un autre moment. Vous paraissez souffrante et fatiguée. Restez ici un instant seule, je vais vous faire donner quelques rafraichissemens.

En parlant ainsi, il fit asseoir Victoria sur un sopha superbe, et la laissa pour quelques minutes. Les