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lui fera pas de peine, y trouvant un repas de gagné. Nous sommes dans l’habitude de ne la voir que très-tard, le matin, ainsi je serai tout-à-fait loin de sa tyrannie, du moins je l’espère, quand elle me demandera. Catau, nous nous reverrons peut-être encore : sois sûre qu’alors tu ne te repentiras pas de m’avoir obligée… Adieu, ma bonne fille ; va-t-en… adieu, ne cherche pas à me suivre, je t’en prie.
— Oh, mam’selle ! mam’selle !… et Catau soupira fortement, en versant une abondance de grosses larmes qui coulaient sur des joues d’un rouge cramoisi.
— Si tu m’aimes véritablement, ma fille, dit Victoria, dont le cœur n’éprouvait pas l’ombre de regret à