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plus beaux jours, n’avait pris garde à elle, et beaucoup moins encore n’avaient pensé à la demander en mariage. Par cette raison, sa haine contre toutes les femmes qui avaient des attraits, ou qui osaient se montrer sensibles aux hommages de l’autre sexe, ne connaissait point de bornes, et on ne pouvait rien espérer de son indulgence. Telle était la signora de Modène. Son intérêt personnel l’avait toujours empêchée de se mettre mal avec sa cousine, quoique n’ayant jamais été intime, parce que celle-ci n’avait cessé d’être généreuse à son égard. Toutefois son malheureux penchant à l’envie s’opposa à ce qu’elle lui fît un accueil bien cordial. Elle n’agissait pas de même avec Adolphe, dont cette femme désirait se faire un ami. Elle