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part de Montebello, Laurina aurait pu, peut-être, obtenir quelqu’adoucissement à la sentence, mais en ce moment il n’était plus tems. Son air le lui dit assez pour qu’elle cessât de le presser.

La signora reçut le comte Adolphe avec toute la politesse dont elle était susceptible. Laurina l’examina attentivement pour pouvoir augurer ce qu’elle avait à en attendre pour sa fille. Mais cette femme peu gracieuse, n’offrait sur ses traits que l’orgueil d’une vertu maussade, avec l’envie maladroite de se faire valoir par quelqu’amabilité qui lui était tout-à-fait étrangère.

Cette grave personne avait été informée de la mauvaise conduite de Laurina, conduite qui l’avait exposée à perdre son rang dans la