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sance… Allons, je n’y veux plus penser. C’est au tems seul à me convaincre.

L’esprit troublé et le cœur mécontent, Victoria commença ses apprêts de départ. Le comte et Laurina ne la laissèrent pas long-tems à sa solitude, dans la crainte qu’elle n’y entretînt des réflexions dangereuses. Ils entrèrent dans son appartement, et Adolphe d’un air gai et dégagé, lui demanda si elle était prête. Je le suis, fut la réponse laconique de la demoiselle.

Et nous aussi, dit-il. Alors il voulut prendre sa main pour la conduire.

L’orgueilleuse fille la retira avec humeur, puis suivit sa mère et le comte en silence.

Adolphe, qui avait paré à tout ce