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râlant de volupté quand mon membre écrasé dans l’étroit fourreau, lance jusqu’au cœur de la vaincue, sa rosée bienfaisante, en même temps que la verge factice projette son lait chaud dans le vagin, grâce à la prévoyante Lison, qui fait jouer le ressort, que Lola pâmée est incapable de pousser. Dès que mon engin dégonflé s’est retiré, je gagne la salle de bain, où je me mets en état de reparaître.

Quand je reviens, Blanche est encore dans le cabinet de toilette avec Lola, qui lui donne ses soins. En attendant leur retour, nous préparons un divertissement, auquel tout le monde doit prendre part. Quand Lola rentre, suivie de madame de R., je m’étends sur le tapis, la nuque reposant sur un coussin, la queue en l’air. La blonde Agnès m’enjambe sur le milieu du corps, me tournant le cul, prend mon bâton dans la main, se le met entre les cuisses, s’assied dessus, l’engloutit, et attend, ainsi accroupie, le signal de la bataille ; à son tour Blanche m’enjambe, tournant le dos à Agnès, se met à califourchon sur mon cou, et s’assied, présentant son conin à mon baiser ; toutes deux attendant