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sation descend de mes lèvres à mon membre, lui communiquant une ardeur nouvelle, qui lui rend sa belle dimension. Le massage prend fin, j’aurais voulu qu’il durât tout le jour.

C’est mon tour de passer sous les mains des camérières. Je m’étends sur les reins ; maître Jacques, qui bandait déjà, se dresse, s’agite, fouette l’air, pendant que le quatuor, car la comtesse s’y est mise, me frotte rudement, amenant le sang à la peau ; puis, quand je veux me retourner, pour présenter mes reins au massage, Mercédès, ne voulant pas que maître Jacques s’abîme, vint lui servir de matelas ; je comprends ce qu’elle désire, aux regards de convoitise qu’elle jette sur mon priape quillé. Dès qu’elle est étendue, elle le prend dans sa main, lui fait place entre ses cuisses, et le dirige vers l’embouchure. Je me fais apporter un coussin, pour exhausser ses fesses, et quand elle me présente la grotte d’amour bien en face, j’y pousse l’engin, qui s’y engloutit tout entier. Pendant que je manœuvre, les filles de chambre poursuivent leur aimable besogne. Lola frictionne rudement mes fesses, elle les presse dans sa main, les pince, les étreint, les