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à moi, une comtesse véridique, est la douceur en personne ; et malgré l’effervescence de ses passions, on n’assiste, chez elle, qu’à des scènes voluptueuses, sans un mélange de cruauté, qui enflamment les sens, sans les révolter, dans ce roman de longue haleine.

Chers lecteurs, et vous, très chères lectrices, qui me ferez l’honneur de me lire, j’ose espérer que vous serez satisfaits ; car vous ne lirez mon livre qu’à bon escient, connaissant le titre, et le sous-titre ; le livre tient, je crois, tout ce que le titre promet.

E. D.


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