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mettre au diapason. Devant l’inutilité de nos efforts réunis, on se décida à recourir aux grands moyens. Lola disparaît un moment, et revient avec un martinet, qu’on me met entre les mains. On dépouille la princesse de tous ses vêtements ; deux soubrettes la conduisent vers un fauteuil, où on la fait agenouiller, le front appuyé sur le dossier, maintenue ainsi inclinée par les deux soubrettes, bien qu’elle ne fasse pas un mouvement pour se dérober à la fustigation. Elle exhibe, pleins et gros, ses blancs hémisphères, laissant entrevoir, entre les cuisses écartées, la fente aux lèvres roses, resserrées l’une contre l’autre. Flic, flac, les lanières retombent d’abord doucement, laissant à peine des lignes roses, qui s’effacent aussitôt ; rien ne bouge, les fesses restent immobiles, les lèvres de la fente sont toujours étroitement unies. Flic, flac, je frappe un peu plus fort, les fesses se rosent, mais ne s’écartent pas ; flic, flac, le cul rougit, sans manifester la moindre émotion. Bientôt cependant, à un coup dirigé sur la grotte d’amour, les lèvres se disjoignent un peu ; flic, flac, elles s’entr’ouvrent ; je recommence sur les fesses, qui main-