Page:D - La Comtesse de Lesbos, 1889.djvu/118

Cette page a été validée par deux contributeurs.

qui vient hâter la jouissance et la rendre plus intense.

Elles restent un moment collées l’une sur l’autre, moi toujours contre elles ; la princesse, allongeant la main, trouve mon priape en état, et sitôt, délaissant la comtesse, elle se jette sur moi. Mercédès, elle aussi, grille d’être de la fête. Pour n’en laisser languir aucune, je m’étends sur les reins, la tête sur le traversin, le corps horizontal, les jambes serrées, Jacques se dresse verticalement, la princesse m’enjambe au milieu du corps, me tournant le cul ; elle se met l’engin dans le ventre, et se penche en avant, la tête vers le pied du lit, étendue sur mes jambes, les tétons sur mes genoux, le visage sur mes pieds, le derrière bien en face de mes yeux, large, épanoui ; je lui fais essayer la manœuvre, et, suivant mes conseils, elle soulève les fesses, laissant les trois quarts de la verge en dehors du vagin ; puis, elles redescendent, l’engloutissant toute entière, recommençant deux ou trois fois le manège ; quand elle a saisi le mouvement, la comtesse m’enjambe sur la figure, le cul en amont, l’entre-cuisses sur