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SUR LA VIE ET LA MORT


DE TRÈS HAUT, TRÈS PUISSANT ET SÉRÉNISSIME PRINCE


Monseigneur Louis D’ORLÉANS,


Premier Prince du sang Royal et premier Pair de France, Duc d’Orléans, de Chartres, de Valois, de Nemours, de Montpensier, etc., Prince de Joinville, Marquis de Coucy et de Follembray, Comte de Soissons et de Romorentin, Vicomte de Dourdan, Seigneur de Montargis, etc., etc., Chevalier des ordres du Roi et de l’ordre insigne de la Toison-d’or, Grand-Maître des ordres militaires et hospitaliers de Notre-Dame du Mont-Carmel et Saint-Lazare de Jérusalem, Nazareth et Bethléem, Gouverneur du Dauphiné, ci-devant Colonel-Général de l’infanterie française et étrangère, etc., etc., etc.[1].

« Louis, Duc d’Orléans, premier Prince du sang, était un des plus savans et des plus vénérables Princes qui aient jamais paru sur la scène du

  1. L’Éditeur a pensé que la reproduction de cette pièce du temps serait mieux à sa place à la fin de ce volume que parmi les autres pièces justificatives à la fin de l’ouvrage. D’après une note marginale de Mme de Créquy, il paraît que cet opuscule avait été considéré comme une sorte d’oraison funèbre au petit pied. C’est une brochure en trois feuilles in-12, imprimée chez Hérissan père, libraire de LL. AA. SS. Mgr. le Duc et Mme La Duchesse d’Orléans. Paris, M. DCC, LIII.

    La relation suivante, qui se rapporte aux convulsionnaires, nous paraît aussi beaucoup mieux placée dans ce tome III qu’elle ne l’aurait été dans le dernier volume de ces Mémoires.