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ville, 1797.[1] On y trouve divers écrits qui n’avaient point été imprimés, entr’autres des Essais sur la Peinture, qui sont remplis de vues très-fines et d’aperçus très-délicats sur cet

  1. Ce membre de l’Institut aurait pu se dispenser d’ajouter ses notes et de commenter les ouvrages de son ami ; ses commentaires sont presque toujours hors de saison, et ne contribuent le plus souvent qu’à embrouiller les questions les plus intelligibles : mais M. Naigeon, ne pouvant rien produire par lui-même, a pris le parti de s’immortaliser, en accolant son nom à celui de Diderot, et en lui prêtant ses pensées et ses opinions. Et voilà comme on se fait des réputations !…